April 1429
King of England, and you Duke of Belford who call yourself Regent of France; William de la Pole, Earl of Suffollk; and you Thomas Lord Scales, who style yourself lieutenants of the said Bedford - do right to the King of Heaven.
Render to the Maid who is sent by God the keys of all the good towns you have taken and violated in France. She is sent hither by God to restore the royal blood. She is very ready to make peace if you will do her right by giving up France and paying for what you have held.
And you archers, companions of war, noble and otherwise, who are before the good city of Orleans, begone into your own land in God's Name, or expect news from the Maid who will shortly go to see you to your very great hurt.
King of England, if you do not so, I am chief of war, and wherever I shall find your people in France I will drive them out, willing or not willing; and if they do not obey I will slay them all, but if they obey, I will have them to mercy.
I come hither by God, the King of Heaven, body for body, to put you out of France, in spite of those who would work treason and mischief against the kingdom. Think not that you shall ever hold the kingdom of heaven from the King of Heaven, the Son of the Blessed Mary; King Charles shall hold it, for God wills it so, and has revealed it to him by the Maid. If you believe not the news sent by God through the Maid, wherever we shall meet you we will strike boldly and make such a noise as has not been in France these thousand years. Be sure that God can send more strength to the Maid than you can bring to any assault against her and her good men - at - arms; and then we shall see who has the better right, the King of Heaven, or you.
Duke of Bedford, the Maid prays you not to bring about your own destruction. If you do her right, you may yet go in her company where the French shall do the finest deed tha has ever been done in Christendom, and if you do not, you shall be reminded shortly of your great wrongs.
Jeanette du Arc
General in Chief of France
agtG
Avril 1429
Roi de l'Angleterre, et vous duc de Belford qui s'appellent régent de la France ; William de la Polonais, comte de Suffollk ; et vous seigneur Scales, qui de Thomas se dénomment des lieutenants de Bedford dit - redressez au Roi du ciel.
Rendez à la bonne qui est envoyée par God les clefs de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violé en France. Elle est envoyée ici par God pour reconstituer le sang royal. Elle est très prête à faire la paix si vous ferez sa droite en abandonnant la France et le paiement ce que vous vous êtes tenu. Et vous archers, compagnons de guerre, noble et autrement, qui sont avant la bonne ville d'Orléans, begone dans votre propre terre dans God' ; s appellent, ou s'attendent à des nouvelles de la bonne qui ira sous peu vous voir à votre mal très grand.
Roi de l'Angleterre, si vous ne faites pas aussi, je suis chef de guerre, et partout où je trouverai vos personnes en France que je les conduirai dehors, du disposé ou du disposé ; et s'ils n'obéissent pas je les massacrerai toutes, mais si elles obéissent, je les aurai à la pitié.
Je viens ici par God, roi de ciel, corps pour le corps, pour vous mettre hors de la France, malgré ceux qui travaillerait la trahison et la sottise contre le royaume. Pensez pas que vous tiendra jamais le royaume du ciel du roi du ciel, le fils de Mary bénie ; Le Roi Charles le tiendra, pour Dieu le veut ainsi, et l'a indiqué à lui par la bonne. Si vous croyez pas les nouvelles envoyées par God par la bonne, partout où nous vous rencontrerons nous frapperons hardiment et ferons un bruit tel que n'a pas été en France ces mille années. Soyez sûr que Dieu peut envoyer plus de force à la bonne que vous peut apporter à n'importe quel assaut contre ses et ses bons hommes - à - des bras ; et alors nous verrons qui a le droit meilleur, le Roi du ciel, ou vous.
Le duc de Bedford, la bonne vous prie pour ne pas provoquer votre propre destruction. Si vous faites sa droite, vous pouvez encore entrer à sa compagnie où le Français fera le tha de contrat le plus fin a été jamais fait dans la Chrétienté, et si vous ne faites pas, vous serez rappelé sous peu vos grands maux.
Jeanette du Arc
Général dans le chef de la France
